« La dernière ligne se situe un peu dans la “lignée” d’une littérature de témoignages parlant de cette génération sacrifiée des années 70, qui va de Gabeira à Marcelo Paiva. La détresse, sensible et hallucinée, de l’adolescent, le parti-pris fictionnel ont ici l’avantage de maintenir une relative distance avec l’Histoire. La cohérence des personnages, la superposition discrète de l’univers de la “sniff” et de l’écriture, habilement reprise dans le titre français, élargissent d’autant les pistes de lecture et ajoutent à l’intérêt du livre, qui par ailleurs apporte une pierre originale à la compréhension de ce que furent pour les Brésiliens les années de dictature ». M. Riaudel.