«L’auteur interroge les femmes-médiums  des quartiers pauvres de Belém, et se met en quête d’une parole qui délivrent au fur et à mesure de son écoute, “un compagnon invisible” pris au jeu des avatars successifs des succesifs des entités qui possèdent ces femmes (et qu’elles possèdent)». Dans sa préface, Marc Augé salue un ouvrage qui «ouvre une voie royale pour l’analyse de la société brésilienne», car «à travers la guerre des sexes que le culte et la possession par les caboclos mettent en scène, c’est tout un pan de la société [qu’il] éclaire».