« ([…] Condensé généreux de la sensualité métisse en œuvre dans la dernière partie de la geste amadienne. Tereza est une forte femme, très jeune orpheline et caïd, puis prostituée et révoltée, aimante et assassine. G. Raillard s’emploie dans la préface à souligner les nuances et anticipations de l’histoire, moins élémentaire qu’il n’y paraît. À moins que ce ne soit le contraire… »