« Dans cette courte histoire, les Turcs font du commerce – les Turcs, c’est-à-dire des Libanais et des Syriens baptisés Turcs au moment où ils deviennent Brésiliens, allez comprendre ce pays ! –, vont au bordel, plantent du cacao, bref s’assimilent. Au passage on aura marié une vieille fille dont le célibat menaçait l’équilibre familial et la morale de l’univers amadien. […] Ce roman est d’une grivoiserie complaisante, d’une magie quelque peu prévisible, mais on y retrouve la bonne humeur, la verve […], le plaisir de raconter une histoire. » M. Riaudel.