Achevons ce tour d’horizon par un roman, le second de Jô Soares, L’Homme qui tua Getúlio Vargas. Anti-héros looser, terroriste avorté, le Bosniaque Dimitri Borja Korozec a à peu près raté tous ces rendez-vous avec l’Histoire, l’archiduc, Jean Jaurès, Nasser, Al Capone…, mais pas avec la fantaisie et avec la farce (trad. François Rosso, Calmann-Lévy, 334 p.).